Le plan primitif -- statistiques
Une opposition factice
* * *
Il apparaît à la lecture du texte présenté ci-après une axiomatique probablement fondamentale, intrinsèque à tout discours sur ce qui est dit "humain" et, conséquemment ce qui ne le serait pas, c'est-à-dire de l'ordre du "surhumain", soit émanant ou de l'enfer ou du paradis, soit d'une créature quelconque non-humaine, angélique ou diabolique.
Ici, le terme même de diabolique peut aider à voir, par son étymologie "dia" "bol", qu'il s'agit en fait de traverser une espèce d'écran des apparences, et d'accéder à une perception réelle au-delà d'un brouillard qui recouvrirait -- accidentellement ou non, la vision originelle du monde et des êtres qui nous entourent.
Le mythe biblique du Paradis perdu met en évidence ce que nous percevons à travers la nudité, c'est-à-dire à travers ces choses dont la "nature des choses" peut se trouver alternativement ou couverte (d'un "voile de pudeur") ou découverte (par un désir insatiable, celui d'une curiosité scientifique proche de la transgression prométhéenne)
Oublions-nous que "nature" signifie tout ce qui participe à naissance ou fait de naître, et que "connaître" signifie quelque chose de plus profond que "savoir", puisque cela implique de participer à la survenance d'un événement, avant d'en partager les modalités circonstancielles, d'en "faire savoir" ou d'en savoir, d'en goûter l'un ou l'autre détail appétissant..!
Ainsi en omettant le passage "de fil en aiguille" ou l'invention du vêtement, nous sommes amenés à réfléchir à un épisode subséquent de l'aventure humaine : l'invention du "plan", de la surface plane ou de la table, qui permettait le tout premier échange de convivialité originelle tribale et/ou familiale à l'occasion du partage de (la préparation des) repas : dans la cuisine primitive.!
Mais ceci, c'est probablement -- pour paraphraser Rudyard Kipling à la fin du "Livre de la Jungle", encore une "autre histoire".
Spécialistes et théologiens commenteront ces questions en toute bonne foi; c'est précisément pour cette raison que je me définis plus volontiers comme agnostique -- plutôt qu'athée ou libre penseur.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-mystere-de-la-vie-l-angoisse-de-154659
Est-on jamais vraiment libre de penser comme on le veut, où et quand on le veut ?
Remarque: Cette fois encore, j'ai préféré le texte original à toute traduction. Cela non par effet de "moindre effort", mais par louable souci de laisser au texte toute l'authenticité de l'expression dans la langue d'origine.
En plus, les internautes-visiteurs auront par cela toute faculté de pouvoir mieux adapter leur compréhension et accéder au sens profond du texte dans leurs langues particulières.
Ici, le terme même de diabolique peut aider à voir, par son étymologie "dia" "bol", qu'il s'agit en fait de traverser une espèce d'écran des apparences, et d'accéder à une perception réelle au-delà d'un brouillard qui recouvrirait -- accidentellement ou non, la vision originelle du monde et des êtres qui nous entourent.
Le mythe biblique du Paradis perdu met en évidence ce que nous percevons à travers la nudité, c'est-à-dire à travers ces choses dont la "nature des choses" peut se trouver alternativement ou couverte (d'un "voile de pudeur") ou découverte (par un désir insatiable, celui d'une curiosité scientifique proche de la transgression prométhéenne)
Oublions-nous que "nature" signifie tout ce qui participe à naissance ou fait de naître, et que "connaître" signifie quelque chose de plus profond que "savoir", puisque cela implique de participer à la survenance d'un événement, avant d'en partager les modalités circonstancielles, d'en "faire savoir" ou d'en savoir, d'en goûter l'un ou l'autre détail appétissant..!
Ainsi en omettant le passage "de fil en aiguille" ou l'invention du vêtement, nous sommes amenés à réfléchir à un épisode subséquent de l'aventure humaine : l'invention du "plan", de la surface plane ou de la table, qui permettait le tout premier échange de convivialité originelle tribale et/ou familiale à l'occasion du partage de (la préparation des) repas : dans la cuisine primitive.!
Spécialistes et théologiens commenteront ces questions en toute bonne foi; c'est précisément pour cette raison que je me définis plus volontiers comme agnostique -- plutôt qu'athée ou libre penseur.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-mystere-de-la-vie-l-angoisse-de-154659
Est-on jamais vraiment libre de penser comme on le veut, où et quand on le veut ?
Remarque: Cette fois encore, j'ai préféré le texte original à toute traduction. Cela non par effet de "moindre effort", mais par louable souci de laisser au texte toute l'authenticité de l'expression dans la langue d'origine.
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